Lorsque les ventres réclament leur dû,Que l'on soit homme, que l'on soit femme,L'on se retrouve autour d'une assiette, d'une flamme,Et les barrières, si hautes qu'elles soient, n'existent plus.

C’était bien tu sais.Nous avions ri et parlé des heures,De nos rêves, de nos joies, de tes malheurs.Nous avons lu et écrit des histoires,Allongés côte à côte, ne voulant nous asseoir. C’était bien tu sais,Que tu sois là, et rien que là,Même si quelques...